Chaque semaine, un hypokhâgneux, du groupe de grec confirmé (ils se font rares…), vous livre ses impressions, et rien que ses impressions, sur les déclinaisons, les conjugaisons, le vocabulaire et la syntaxe… en toute décontraction !
Au mois de septembre dernier, je me suis lancé, la fleur au fusil, dans l’aventure grecque. Un à un je surmontais les obstacles que notre professeur tendait devant nous, pauvres élèves. Je me voyais déjà réciter Platon, raconter Homère, mais la réalité me rattrapa. La première déclinaison me rendit aussi confus que Verstappen au Japon. Êta ou pas êta, telle était la question. Dès lors je compris l’amour de mon professeur pour l’attique et l’aversion des khâgneux pour la chose hellénique.
Pierre, H811
Nous vous disons « pschitt » et à la semaine prochaine !